Bref historique du judo

Le judo, dont la traduction est voie de la souplesse, est un art martial d’origine japonaise. Il a été fondé en 1882 par Jigoro Kano (1860-1938). Inspiré du ju jitsu, il est essentiellement composé de techniques de projections, de contrôle au sol, d’étranglements et de clefs de bras.

Le judo arrive en Suisse en 1925 grâce à un étudiant coréen Hanho Rhi. Les premiers championnats du monde de judo ont lieu à Tokyo en 1956. Et le judo apparait pour la première fois au programme des Jeux Olympiques en 1964 également à Tokyo.

Bref historique du judo

Le judo, dont la traduction est voie de la souplesse, est un art martial d’origine japonaise. Il a été fondé en 1882 par Jigoro Kano (1860-1938). Inspiré du ju jitsu, il est essentiellement composé de techniques de projections, de contrôle au sol, d’étranglements et de clefs de bras.

Le judo arrive en Suisse en 1925 grâce à un étudiant coréen Hanho Rhi. Les premiers championnats du monde de judo ont lieu à Tokyo en 1956. Et le judo apparait pour la première fois au programme des Jeux Olympiques en 1964 également à Tokyo.

sensei
combat

Le lieu et la tenue

Le judo se pratique dans un dojo, une salle d’entrainement où sont disposés des tatamis. Avant de monter sur les tatamis, les judokas saluent le dojo. Ils font de même en en sortant.

Les judokas s’entrainent à pied nus et en judogi. Celui-ci est une tenue en coton renforcé généralement blanc. Il en existe des bleus, principalement utilisés lors des compétitions. Les garçons sont torses nus sous les judogis, et les filles portent un t-shirt de couleur blanche.

Cours typique

Les nombreux saluts sont la marque la plus visible du respect qui régit le judo.

Avant d’entrer sur le tatami d’une salle de judo, il faut le saluer. De même lorsqu’on le quitte. Puis avant de commencer l’entrainement, le judoka est dans le devoir de saluer son professeur, d’abord agenouillé puis debout, avant que le cours ne commence.

L’entraineur propose aux jeunes judokas une leçon plus ludique et leur apprend à prendre confiance en eux et à découvrir leur corps. La première chose qu’ils apprendront, seront les chutes. Puis ils apprendront les techniques debout et au sol qui leur permettront de passer les ceintures et de se perfectionner.

Les techniques de judo s’apprennent à tout âge et servent également pour les randoris: les combats debout et au sol. Les randoris sont très importants pour que les judokas deviennent expérimentés. C’est pendant les combats que l’on essaie les techniques que l’on a apprises, qu’on les perfectionne et que l’on devient un bon judoka.

Tout comme au début, la fin de l’entrainement de termine par un salut mutuel. Les nombreux saluts sont la marque la plus visible du respect qui régit le judo.

Grades

Les ceintures (grade) sont attribuées à un judoka après un examen. Les passages s’effectuent au club jusqu’à la ceinture marron puis les ceintures noires sont décernées par le Fédération Suisse de judo après un examen plus poussé.

La ceinture permet d’évaluer: le niveau technique (GHI), l’efficacité en combat (TAI), le degré d’ancienneté, les qualités morales (SHIN) ainsi que l’investissement dans la pratique du judoka.

Le judoka débute avec la ceinture blanche (6ème kyu) puis passe une à une les ceintures jaune (5ème kyu), orange (4ème kyu), verte (3ème kyu), bleue (2ème kyu) et marron (1er kyu). Ensuite viennent les dan, avec la ceinture noire du 1er au 5ème dan, puis la ceinture rouge et blanche du 6ème au 8ème dan et enfin la ceinture rouge pour les 9 et 10ème dan.

Compétitions

Le premier combattant appelé se présente en kimono blanc (ou ceinture blanche) et le second appelé en kimono bleu (ou ceinture rouge). Les combattants viennent au bord de la surface de compétition, se saluent une première fois, avancent au centre et se saluent une seconde fois. A ce moment, ils attendent les consignes de l’arbitre.

Le combat est terminé lorsqu’il y a ippon (debout ou au sol), lorsque le temps est terminé, lors d’une disqualification (comportement antisportif ou technique dangereuse) ou lors d’abandon (blessure ou autre). Pour qu’il y ait ippon au sol, l’adversaire doit être tenu les deux épaules au sol pendant 25 secondes. Et debout, l’adversaire doit être projeté au sol avec force-vitesse-précision.

Compétitions

Le premier combattant appelé se présente en kimono blanc (ou ceinture blanche) et le second appelé en kimono bleu (ou ceinture rouge). Les combattants viennent au bord de la surface de compétition, se saluent une première fois, avancent au centre et se saluent une seconde fois. A ce moment, ils attendent les consignes de l’arbitre.

Le combat est terminé lorsqu’il y a ippon (debout ou au sol), lorsque le temps est terminé, lors d’une disqualification (comportement antisportif ou technique dangereuse) ou lors d’abandon (blessure ou autre). Pour qu’il y ait ippon au sol, l’adversaire doit être tenu les deux épaules au sol pendant 25 secondes. Et debout, l’adversaire doit être projeté au sol avec force-vitesse-précision.